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tout sur les appel doffre

9 juillet 2007

Villas - immeublesConstructions ruralesMaçonnerie

Villas - immeubles
Constructions rurales
Maçonnerie - béton armé
Transformations - carrelage
Terrassements
Aménagements extérieurs
Rénovation de bâtiments anciens
Travaux en pierres naturelles et
artificielles
Génie-civil .Charpente - Serrurerie -Domaines d'activités:Menuiserie acier et aluminium - Fermetures coupe-feu

Jusqu'à votre emménagement

Si vous le désirez, nous nous occuperons de tout.
Nous construirons la maison de vos rêves de A à Z, selon vos goûts.
Il ne vous restera plus qu'à emménager.    option   FINITION
En réalisant vous-même certains travaux, vous pourrez épargner autant que vous le désirez.
Nous réalisons le gros œuvre et vous décidez des travaux d'intérieur que vous souhaitez réaliser vous-même.                                                                                                                                                                                          
Si vous le désirez, nous vous fournissons les matériaux pour le chauffage, l'électricité, le sanitaire, le carrelage ou la tapisserie.      Nous possédons l'expérience et les connaissances pour rénover en respectant le style de votre maison.
Vous souhaitez rénover ou agrandir?
Nous sommes votre partenaire.
pour lexperience vous pouvez en etr persuadez.        dakar entreprise   construit tous types de maisons individuelles. Elle apporte son savoir-faire pour répondre aux demandes les plus précises et les plus exigeantes    l’utilisation de matériaux nobles, des pratiques architecturales variées et innovantes qui conviennent à merveille aux villas, mas et bastides de grand- standing.

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9 juillet 2007

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9 juillet 2007

comen concaincre le clien

Le premier client constitue une étape fondamentale dans la création d’une entreprise. Mais comment le convaincre à acheter?

Pour Andreas Westhoff, co-fondateur de la société Lift.tv SA, un élément s’est avéré décisif: que le client puisse toucher le produit, afin qu’il sache exactement ce qu’il achète.

Dans le cas de Lift.tv SA, il s’agissait d’une nouvelle génération de systèmes de publicité, d’information et de divertissement. Des écrans multimédias interactifs sont installés dans des ascenseurs et proposent aux usagers des informations d’actualité et du divertissement, ou servent de support publicitaire. Cela, dans un lieu où l’on aurait sinon rien d’autre à regarder que les murs ou le sol.

Afin de pouvoir convaincre des clients potentiels, il est important d’établir le bon contact et de se mettre dans la peau des personnes présentes. Selon Andreas Westhoff, il est nécessaire d’être patient, car chaque client a des besoins différents.

Lift.tv SA a trouvé son premier acheteur en Chine, grâce à de nombreux contacts privés en Asie. La mentalité dans les pays asiatiques est semblable à celle des Etats-Unis, où l’on construit beaucoup de gratte-ciels, ce qui présente un potentiel intéressant pour Lift.tv. Pour cette raison, l’entrepreneur a décidé de se concentrer sur la région asiatique. Andreas Westhoff ajoute qu’à côté d’un bon réseau de connaissances, le hasard a aussi joué aussi un rôle.

En tant que jeune entrepreneur qui présente une technologie innovante, il pensait qu’il serait plus difficile de convaincre des clients. Il craignait que face à un produit qui n’a pas encore été testé en grand nombre, le scepticisme ne règne. Dans ce cas, il faut rester ferme, pour ne pas courir le risque de vendre le produit en dessous de sa valeur.

Andreas Westhoff est convaincu que l’autocritique, la confiance en soi et un environnement privé réconfortant sont d’une énorme importance pour ne pas se laisser décourager. En outre, il peut parfois être utile de prendre de la distance avec soi-même et de s’observer de l’extérieur.

Afin d’acquérir la compétence de vente nécessaire, l’essentiel réside dans le "learning by doing", explique Andreas Westhoff, car la pratique et la théorie sont deux choses différentes.

Il faut une certaine connaissance des hommes. Le vendeur doit pouvoir lire ce que l’autre pense, non seulement en tant qu’individu mais aussi en tant que client. En conclusion, un entrepreneur doit être capable d’apprendre de ses succès et de ses erreurs.

Retour à la vue d'ensemble 2005

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http://www.kmu.admin.ch/dokumente/00148/00149/00171/index.html?lang=fr

9 juillet 2007

Question épineuse que celle du choix d’un statut

Question épineuse que celle du choix d’un statut juridique. En l’absence de structure juridique idéale, certains porteurs de projet se laissent guider par des considérations hasardeuses.
C’est vite oublier que c’est un choix lourd de conséquences, notamment en termes de fiscalité, de protection sociale. Pour résumer, les candidats à l’installation ont deux options : créer une entreprise en nom propre (aussi appelée entreprise individuelle) ou fonder une société.

1. Deux grandes options possibles

Avec l’entreprise individuelle, le créateur est seul maître à bord : il n’a de comptes à rendre à personne. Les formalités de création sont réduites au minimum et les règles de fonctionnement simplifiées. Dans ce cadre, le dirigeant et son entreprise forment une seule et même personne, et les bénéfices tirés de l’activité sont assujettis à l’impôt sur le revenu. Inconvénient majeur : la confusion des patrimoines entraîne une responsabilité totale du créateur sur ses biens personnels, à l’exception de la résidence principale qui peut être protégée.
À l’inverse, en créant une société (SARL, EURL...), vous pouvez non seulement vous lancer à plusieurs mais aussi donner naissance à une entité juridique distincte (appelée personne morale), qui dispose de son propre patrimoine. Résultat : votre responsabilité et celle de vos associés est limitée. Par contre, le formalisme lié à la création et à la gestion est plus contraignant.

2. Posez-vous les bonnes questions

Chaque structure présente des avantages et des inconvénients. Pour trouver la plus adaptée à votre projet, il vous faut répondre à quelques questions.
Votre activité impose-t-elle une forme déterminée ? À titre d’exemple, les débits de tabac doivent obligatoirement être exploités en nom propre. Voulez-vous démarrer seul ou avec des partenaires ? Quels sont vos besoins financiers ? Quelles sont les perspectives de croissance ? Avez-vous un patrimoine à protéger ? Êtes-vous prêt à respecter des règles de fonctionnement lourdes ? De quels régimes fiscal et social souhaitez-vous relever ? Vos réponses vous guideront vers une structure donnée. Mais le mieux reste encore de faire valider votre choix par un expert en la matière : l’avocat d’affaires.

9 juillet 2007

coment recruter le clien face a un concuren tres connu

Pour le client, cette valeur se traduit par une perception d’un haut degré de responsabilité de la part de votre compétiteur, d’une plus grande sécurité et d’un risque moins élevé. Pour chaque client, cette valeur est différente.

Afin d’obtenir de bons résultats de vente face à ce genre de compétiteur, vous devez rencontrer des clients qui sont moins sensibles aux risques, qui sont plus audacieux et qui ont une plus grande confiance en eux. Chez vos clients potentiels, la personne qui représente ce profil est généralement, le président de l’entreprise qui, est habituellement un entrepreneur, et c’est dans la nature même de l’entrepreneur de prendre des risques. Si vous décidez de rencontrer l’acheteur ou le directeur de l’entreprise, ces personnes sont habituellement payées pour ne pas se tromper et vous aurez moins de chance de vendre.

Lorsque vous rencontrerez le président, assurez-vous de bien connaître vos avantages compétitifs et les bénéfices additionnels de vos produits par rapport aux solutions compétitives. N’ayez pas une approche générique et identique pour tous vos clients. Sachez adapter chacune de vos solutions, aux besoins et aux préoccupations spécifiques du client.

Un président d’entreprise ne sera laissera pas impressionné par le «branding» de votre compétiteur, il désire avant tout des résultats, démontrez-lui, comment son entreprise sera plus efficace et productive avec vos produits, et le client sera à vous.

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9 juillet 2007

convaincre un clien difficil

Objectifs
- Mieux se connaître pour mieux vendre.
- Savoir s’affirmer face un client difficile.
- Renforcer ses méthodes de vente en situation délicate.

Méthode pédagogique
La formation est basée sur des cas pratiques et des exercices mettant les participants en mesure de négocier avec des clients difficiles.
Chaque participant est amené à travailler sur lui-même pour être plus performant dans son entretien et dans son argumentation.


Programme

Mieux se connaître pour savoir convaincre un client
Autodiagnostic d’affirmation de soi : mieux se connaître, valoriser ainsi ses points forts et améliorer ses points faibles face à un client difficile
Prendre contact avec un client difficile
- Savoir personnaliser le contact
- Etre prêt à « tout entendre » : son mécontentement, ses objections
- Pratiquer l’écoute active
- Utiliser la technique de l’empathie : comprendre et compatir
S’affirmer face à des comportements difficiles
- Comment écouter un client « trop bavard » ?
- Comment canaliser un client agressif ?
- Comment s’affirmer face à un client qui « sait tout » ?
- Comment convaincre un client « perdu » ?
Mise en situation: jeux de rôle mettant en scène les participants lors d’un entretien avec un client difficile
Réussir son argumentaire dans un contexte difficile
- Présenter une proposition correspondant aux attentes du client
savoir contrein au freuns et au mecontentemen du cklien. comen repondre aux objection dun clien dificil. savoir conclur obtenir un acord gagnan gagnant savoir satisfaire le clien difficil' pour le conserver etablir un suivi pour fidelisè le clin difficil plan daction personel faire le poin pour les point fort et les point damelioration  se fixer des objectif concret pour lavenir

9 juillet 2007

comen convaincre un clien

Quelles qualités acquérir pour accroître son efficacité personnelle dans la relation commerciale ?
Comment définir votre exposition à la relation commerciale ?
- En quoi votre activité vous conduit-elle à être en contact avec le client ?
- Comprendre les enjeux de la relation commerciale et votre place dans le processus

Comment analyser votre comportement dans une négociation ?
- Identifier vos atouts et vos faiblesses
- Comment s’adapter à la personnalité du client ?
- Le concept « gagnant –gagnant » ou « gagnant - perdant » ?

Quelles compétences indispensables ?
- Comment persuader ?
- Rechercher les motivations de son client
- Développer son écoute
Initiation à la négociation commerciale
Quelles sont les étapes clés d’une négociation ?
- Quelles sont les phases d’une négociation ?

Comment se prépare une négociation ?
- Champ d’application et objet
- Comment déterminer les enjeux et les objectifs de la négociation ?
- Comment évaluer le rapport de force ?
- Analyser l’environnement, les conditions, les groupes de décision… Quelles informations rassembler ?
- Quelle est votre marge de manœuvre ?

Comment convaincre ?
- Quels sont les comportements de votre interlocuteur ?
- Comment adapter vos arguments à votre interlocuteur ?
- Comment capter l’attention, éveiller l’intérêt, provoquer le désir d’achat ?

Emporter la décision et conclure
- Qu’est-ce qu’un bon compromis ?
- Quand conclure ?
- Comment conclure ?
- Le suivi

9 juillet 2007

Comment fixer le tarif de ses prestations par

Comment fixer le tarif de ses prestations

par Bruno Askenazi

Donner un prix à ses prestations : pas toujours facile pour ceux qui exercent leur activité en libéral. Quelques repères indispensables avant de se lancer.

Tous les entrepreneurs exerçant en libéral sont passés par là : ce moment fatidique où il faut donner un prix à ses prestations. Une étape plutôt délicate pour certaines professions où l'on vend de l'immatériel, comme du conseil en ressources humaines ou des formations. Mais l'enjeu est de taille. Car se tromper sur ses tarifs peut coûter très cher. Aussi bien pour ceux qui surestiment leurs services que pour ceux qui bradent leurs prestations. Pratiquer un prix " acceptable " par vos clients mais en même temps conforme à vos prétentions financières : tel est le casse-tête que vous devrez résoudre si votre métier n'est pas réglementé. Voici donc quelques pistes qui devraient vous permettre de pratiquer le " juste prix ". À vos calculettes !
Première étape, vous devez analyser votre marché et connaître les prix qui y sont pratiqués. Ce sera un point de repère essentiel pour établir vos tarifs. Pour certains, l'information sera facile à trouver, auprès de clients potentiels ou de syndicats professionnels. Un graphiste indépendant pourra ainsi contacter des agences de pub ou de design, un interprète, l'Association internationale des interprètes de conférence (AIIC). Parfois, il suffit d'en discuter avec des confrères ou de participer à des réunions professionnelles pour se faire une opinion. Les chambres de commerce ou de métier ne sont pas non plus à négliger. Et sur Internet, on peut aisément repérer les tarifs de ses concurrents.
Tous ne sont pas logés à la même enseigne
Mais dès que l'on aborde l'univers du conseil, les choses se compliquent, toutes les spécialités n'étant pas forcément logées à la même enseigne. Mieux vaut alors mener l'enquête. Xavier Bancel s'est bien renseigné sur le sujet avant de se lancer début 2005 dans le conseil en industrie agroalimentaire (Inductiv') : "Je me suis appuyé sur différentes sources que j'ai ensuite recoupées", explique-t-il. En l'occurrence, des consultants dont son ancienne société avait utilisé les services, et l'Institut de formation aux métiers de conseil (IDCE). L'étude de marché qu'il a menée auprès d'une trentaine d'industriels avant de créer sa boîte lui a également été très utile.
Deuxième étape, se donner un objectif de revenu mensuel ou annuel que vous diviserez par le nombre de jours facturés. D'après Yves-André Perez, le directeur de l'IDCE, "un consultant qui marche bien facture 120 jours par an". Attention, ne confondez pas jours facturés et jours travaillés. Car, dans le consulting, une bonne partie de votre temps sera consacrée à chercher de nouveaux clients, effectuer diverses tâches administratives et se former pour ne pas être dépassé. "Grosso modo, cela représente la moitié du temps de travail, estime Bernard Caux, président de la région Île-de-France à la Chambre de l'ingénierie et du conseil en France (CICF). Si on travaille 100 jours, cela revient à 50 jours de chiffre d'affaires. C'est important de l'avoir à l'esprit." L'exercice consiste ensuite à comparer vos exigences financières à ce qui se pratique habituellement dans votre activité. D'évidence, vous ne devez pas être trop décalé. Le but est de concilier la réalité du marché avec vos objectifs de rémunération. Sachez encore que de ce chiffre d'affaires visé, il faut déduire toutes les charges (cotisations sociales, téléphone, Internet, crédits, frais de transport, etc.). En gros, vous ne garderez que la moitié des honoraires que vous toucherez. Pour gagner 3 000 euros par mois (avant impôts), il faut en facturer 6 000 !
Lâcher du lest pour les missions longue durée
Mais pas question pour autant de rester bloqué sur le prix que vous avez défini. Dans bien des cas, il faut être souple dans la négociation et s'adapter aux circonstances. Trop de rigidité, et vous pourriez laisser passer de belles occasions de développer votre chiffre d'affaires. Cas classique, on vous propose une mission longue durée. "Au-delà de 20 jours, on peut être amené à baisser ses prix à la journée. On rentre dans une logique de forfait", indique Yves-André Perez (IDCE). Attention de vérifier que le prix global ne dépasse pas l'enveloppe budgétaire de l'entreprise ou de l'administration concernée. Encore faut-il connaître le montant de cette enveloppe, ce qui n'est pas toujours évident. Pour des missions de longue durée, vous pouvez négocier une avance sur le montant global. Elle pourra être de l'ordre de 20 %. On peut la justifier facilement : frais à engager pour démarrer votre travail, obligation de refuser d'autres missions pour se libérer pour une longue période...
Possible aussi de lâcher du lest si vous voulez décrocher un client prestigieux qui servira ensuite de référence pour en attirer d'autres. Que cela ne vous empêche pas de tenter d'obtenir une contrepartie à cet effort tarifaire : un périmètre de mission plus important ou la promesse de travaux récurrents sur la durée. "Pour un nouveau client, je peux faire un effort si je pense que c'est intéressant sur le long terme. Mais je prends garde de ne pas trop descendre !", affirme Terence Jones, graphiste indépendant à Paris. En effet, si la remise va trop loin (50 % par exemple), votre crédibilité risque d'en prendre un coup.
Casser les prix, c'est souvent la tentation des indépendants débutants, convaincus qu'ils se feront plus rapidement une clientèle. Mauvais calcul. Car en étant trop bon marché, on se dévalorise. Des honoraires bien en dessous de la moyenne peuvent faire craindre le pire quant à vos compétences. Tout aussi gênant, certains de vos confrères pourraient vous reprocher de " tuer le marché ". Enfin, en partant avec des prix planchers, vous aurez du mal à remonter la pente. "Les entreprises travaillent en réseau. Vos nouveaux contacts seront souvent au courant de ce que vous avez facturé à leurs concurrents, explique Michel Paysant, animateur de l'association Freelance en Europe. Ils ne comprendront pas pourquoi vous leur demandez plus."
Démarrer trop bas, c'est s'engager dans une spirale
Démarrer trop bas, c'est s'engager dans une spirale dont vous aurez du mal à sortir. Mais c'est aussi brider ses revenus. Éric Hainaut, associé au cabinet d'expertise comptable ComCom, spécialisé dans les métiers de l'art et de la communication, a souvent affaire à des indépendants qui ont du mal à s'en sortir tout en ayant l'impression de travailler beaucoup : "Dans ces cas-là, il y a souvent des prestations sous-évaluées, déclare-t-il. Je leur suggère de calculer le tarif horaire pour chaque client. Ce qui permet, grâce à un banal tableau Excel, d'identifier les clients les moins rentables pour lesquels il faudra trouver une solution. Évidemment, cela oblige l'indépendant à calculer le temps passé sur chaque dossier. Mais à terme, c'est très utile."
Rester ferme sur les prix n'est pas toujours une partie de plaisir. Certains clients ont l'art de mettre la pression pour tirer les budgets à la baisse. Mieux vaut se préparer à justifier vos tarifs. S'il le faut, n'hésitez pas à mettre noir sur blanc vos arguments avant de vous exercer à l'oral. "C'est une véritable démarche commerciale qu'il faut suivre, insiste Bernard Caux (CICF). Ce que beaucoup de consultants ont du mal à réaliser parce qu'ils ont été souvent salariés dans un grand groupe où ils n'avaient pas le souci de se vendre en permanence." Cécile Jorus, qui a lancé récemment une activité de massages en entreprises ou à domicile (Ammea), a vite compris qu'il fallait être prêt à négocier : "Si on me reproche un tarif plus élevé que celui d'un concurrent, j'ai un argumentaire bien rodé, assure-t-elle. Je peux démontrer que cela ne correspond pas forcément aux mêmes prestations ou aux mêmes services. Je mets aussi mes compétences et mon professionnalisme dans la balance." Une stratégie payante d'autant que, dans bien des cas, le prix n'est pas le premier critère de choix. L'expérience et les compétences font souvent la différence. Ce qui préoccupe l'entreprise, c'est avant tout l'efficacité du consultant.
Adapter sa stratégie à la taille de l'entreprise
Tenir bon sur les prix ne signifie pas pour autant faire la même proposition à tous vos clients. Entre un géant du Cac 40 et une très petite entreprise de province, il faudra adapter votre stratégie tarifaire. Un grand groupe qui a l'habitude de travailler avec des consultants jugera en priorité les qualités et les compétences de l'intervenant. Le budget passera au second plan, surtout s'il s'agit de projets stratégiques ou originaux. "Sur des missions très pointues, je peux me permettre de me payer plus. Je sais que la société est décidée à le faire car elle aura du mal à trouver quelqu'un d'autre de compétent", explique Silvère Tajan, consultant en informatique. Une PME de province qui connaît moins bien le marché du conseil sera plus sensible au facteur prix. Pour la convaincre, vous pourrez toujours lui signaler l'existence de subventions facilitant le recours au conseil, mises en place par le Frac (Fonds régionaux d'aide au conseil).
Enfin, si vous êtes vraiment occupé, n'hésitez pas à faire monter les enchères. "Si on parvient à se constituer un fonds de clientèle régulière, on a plus de marge de négociation pour les autres propositions", affirme Silvère Tajan. À l'indépendant débordé de se débrouiller ensuite pour caser la mission dans son planning. Mais cela est une autre histoire.

Les tarifs des indépendants * :

Consultant :Grand compte : de 900 à 1 200 euros. PME : de 600 à 900 euros.
Graphiste :En moyenne, 500 euros la journée.
Coach sportif :En moyenne, 40 euros la séance.
Sophrologue relaxologue :De 50 à 70 euros la consultation.
Traducteur :En moyenne, 15 centimes d'euro le mot.
Interprète de conférence :Entre 600 et 900 euros par jour.
Dépanneur informatique :40 euros de l'heure.
* Montant brut - hors charges sociales, taxes et frais.

Xavier Bancel, consultant en industrie agroalimentaire :

"Rester ferme sur mon objectif de prix."
J'ai tenu compte de deux critères pour déterminer le montant de mes prestations : les standards de prix pratiqués sur le marché du conseil pour des sociétés de petite taille, et mes objectifs de rémunération. Depuis mes débuts de consultant indépendant l'an passé, j'essaie d'être ferme sur le prix journalier ainsi défini (NDLR : 1 000 euros par jour). Je fais peu de concessions. Sauf pour des missions de longue durée où l'on peut se permettre de baisser. Récemment, j'ai facturé 700 euros par jour mais la mission a duré 100 jours.

9 juillet 2007

conseil

Les 5 erreurs à éviter :

1 Casser les prix pour attirer des clients. Inutile de brader vos prix même si vous êtes débutant. Car, par la suite, vous aurez du mal à les augmenter. Tout se sait très vite, et vos prochains clients ne comprendront pas pourquoi ils devraient vous payer plus cher que leur concurrent. En pratiquant des prix en dessous de la moyenne du marché, vous risquez aussi de vous dévaloriser. Vous éveillerez des doutes quant à vos compétences.
2 Fixer un tarif uniquement selon ses objectifs de rémunération. Vous n'avez pas de points de repère pour définir vos tarifs ? Calculez vos objectifs de rémunération. Mais vérifiez qu'ils sont en phase avec les standards du marché. Pour en avoir une idée, n'hésitez pas à contacter les organisations professionnelles. Elles vous donneront un aperçu des fourchettes de prix pratiqués dans le secteur.
3 Faire de vos tarifs une question d'ego. Fixer ses prix, c'est aussi se donner une valeur personnelle, une image. Mais ne laissez pas votre susceptibilité figer le jeu. Pour décrocher un gros client, il faudra parfois faire preuve de souplesse, sans pour autant vous brader. Ne faites pas de vos tarifs une question d'amour-propre, vous pourriez manquer de bonnes affaires.
4 Oublier de réactualiser ses prix. L'environnement concurrentiel évolue vite. Tous les ans, vérifiez que vos prix sont toujours valables. Même si vous n'êtes plus un débutant, n'oubliez jamais de vous tenir au courant. Pour cela, participez à des manifestations professionnelles ou échangez des informations avec d'autres collègues.
5 Négliger de justifier ses tarifs. Avant d'annoncer un prix, préparez-vous à le justifier auprès de votre interlocuteur. Listez les arguments à donner dans le cas où votre client vous juge trop cher. Cela arrive souvent. Mettez en avant vos compétences et votre expérience. Cette démarche commerciale peut faire la différence


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9 juillet 2007

Description Ce module est principalement centré

Description

Ce module est principalement centré sur la phase commerciale du projet et l’appel d’offres. Les participants recevront un cas réel, et devront construire et négocier une offre. Ils apprendront comment lire un appel d’offre, sur quels points porter leur attention. Ils acquérront une méthodologie pour répondre et soumissionner avec des arguments de différenciation solides et distinctifs de ceux des concurrents. Ils apprendront ensuite comment mener les négociations finales jusqu’à l’obtention du marché.

Objectifs

  • Se positionner par rapport à un appel d’offres
  • Evaluer ses chances et appuyer sur les bons leviers
  • Savoir négocier
  • Savoir jusqu’à où aller

Qui est concerné ?

  • Responsables commerciaux
  • Chargé d’affaires
  • Chefs de projets

Programme

Jour 1

Gagner un appel d’offres

  • Les différentes sortes d’appel d’offres
  • Publicité et règlement de la consultation
  • Planning de la consultation
  • Les clauses administratives et contractuelles
  • Les dossiers de plans et les spécifications
  • Identifier les critères de différenciation et de succès
  • Les points de vigilances
  • Critères fonctionnels

Les conditions de forme et de fonds

  • Eléments de fond
  • Les groupements d’entreprise
  • Conditions de forme
  • Comment établir le prix
  • Travail préparatoire en équipe
  • Les qualifications / commentaires / dérogations
  • Rédaction finale et remise de l’offre
  • Dépouillement par le client 
  • La notation et la short-list

La sélection

  • Etude de faisabilité
  • Compétence Technique
  • Moyens
  • Critères de décisions
  • Les points de vigilances
  • Critères fonctionnels

L’appropriation du dossier

  • Préétude technique
  • Méthodes d’exécution
  • Estimation Prix
  • Estimation Planning
  • Périmètre de l’entreprise
  • Recherche des partenaires

Préparer la soumission

  • Etudes de prix unitaires
  • Planning sommaire d’exécution
  • Consultation sous-traitant et fournisseur
  • Constitution du dossier administratif
  • Calcul du prix sec, K1 et K2

Jour 2

Décision sur le prix

  • Action de la direction
  • Actualisation de priorités
  • Détermination du K3
  • Calcul du prix de vente La négociation
  • Préparer la négociation
  • Mener la négociation
  • Savoir jusqu’où aller
  • Savoir défendre son dossier et conclusion

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